Je suis née le 29 octobre à Varsovie en Pologne. J'ai un grand frère, Paul. J'ai pris la filière SPORT/ETUDES DIT SE. sans option. Je suis d'ailleurs dans le groupe Sweat makes the sport. J'aime mon pays, les accents étrangés et je haïs l'indiscrétion, le métal et le champagne. Mon morceau préféré est Creep - Radiohead. Je garde toujours Le Petit Prince sur ma table de chevet. Dans mon ipod, je fais qu'écouter de la musique classique. Je suis plutôt attiré par les hommes. Niveau film, j'aime énormément Black Swan.

J'ai beaucoup de qualités et tout autant que des défauts. Je suis déconneuse et je suis vexable. De loin, on peut me remarquer parce j'ai des signes particuliers comme une crinière bouclée. Je suis vraiment addict au sport. Parfois on cache certains secrets et le mien est d'être encore vierge. Ma passion est la danse. Mon péché-mignon est le financier. Je garde toujours avec moi, mon porte-bonheur qui est un tatouage. Ma couleur préférée est le rouge.

Jody est une jeune femme de nature sérieuse et enfantine. Elle est appliquée dans son travail comme rarement de personne le sont. Ce n'est pas pour autant une intello qui ne s'accorde pas de loisir, mais dès qu'elle se fixe un but elle prend soin de s'y mettre à fond. C'est une personne intelligente et perspicace, même maligne, qui n'hésite pas à manipuler pour arriver à ses fins. Malgrés son air de sainte nitouche, Jody est capable des pires horreurs pour obtenir ce qu'elle veut. C'est aussi une personne active de nuit, qui ne crache pas sur une fête ou deux. Elle a un self-contrôle impressionnant et se débrouille toujours pour ne pas être malade à cause de l'alcool, pas quel soit aussi raisonnable mais elle a une saine horreur des gueules de bois. Elle est très indépendante, pas pour autant solitaire, elle reste la plupart de son temps avec une compagnie, et malgré sa timidité devant des étrangers elle se mèle très facilement au monde. Une fois à l'aise, elle se met facilement à déconner, même si son humour est parfois mal interprêté et qu'elle est un peu trop franche, a du mal às urveiller son langage en toute circonstance. Elle a malgré tout un fort caractère et sait s'affirmer. C'est une personne très secrète, qui quelque soit la nature profonde d'une relation a beaucoup de mal à accorder sa confiance. Elle est maladroite pour exprimer son amour au gens qu'elle aime, alors elle utilise la tendresse, pour elle une simple étreinte vaut mieux que toutes les déclarations. Et justement, c'est une amie et une amante qui a besoin qu'on lui prouve qu'on tient à elle. Elle n'est pas non plus dans les extrêmes de l'effusion. Une fois vexée ou brouillée, il est difficile de se faire pardonner auprès d'Jody, qui est une vraie rancunière. C'est une personne quand même sensible, qui se met plus à pleurer de colère que de tristesse.

Jody a toujours mit un point d'honneur a être propre sur sois. Elle aime éplucher les magasines de mode sans pour autant avoir obligatoirement les dernières tendances, mais elle doit bien l'avouer, la mode, ça le connait. C'est une adepte de la robe d'été, du short en jean délavé et du perfecto noir charbon. On pourrait croire que sa personnalité ressort dans sa manière de s'habiller, mais ce n'est pas le cas. Elle cherche toujours dans l'originalité, penchant vers un look bohème et rock la plupart du temps. L'accessoire qu'elle n'oubliera jamais sont de grosses bagues en pierres. Elle qui est de nature sérieuse au début d'une rencontre brise cet idéal en s'hbaillant de façon toujours plus coloré.

Toi qui joue ce personnage → Tu t'appelles / et tu as 14. Te voici sur Canadian Belinghton et tu as lu le règlement. Le code est donc OK Tu pense être active [4/7]. Tu t'es inscrit(e) parce que le forum est cool. Tu connais l'adresse grâce à Aaron Keenan. Tu proposes comme suggestions de me demander plein de lien :3.

J'ai toujours été angoissé. Ça a commencé petite, je devais avoir à peine six ans, et ma mère me disait déjà : "Jody, il faut travailler, sinon tu deviendras comme moi !". Et devenir comme elle, c'est loin d'être un compliment dans sa bouche ! Ça voulait dire ne pas avoir eu assez de A pour qu'on s'intéresse assez à toi pour autre chose que du ménage. Et moi, je ne veux pas finir femme de ménage, alors dès que je n'avais pas de A, je me mettais à pleurer en imaginant les serpières et les brosses à chiottes. Non, je ne voulais pas devenir comme ma mère, je voulais ressembler à mon père. Papa est partit très tôt de la maison. Il est Irlandais, alors je comprends que le contrastre entre l'Australie et sa Pologne l'ait fait fuir. Enfin je dis ça, la vraie raison, c'est que maman nous mettait toujours entres ses pattes, et ça, je crois qu'il ne l'a pas vraiment supporté. Y'a des gens, comme ça, les responsabilités ça les fait flipper. Il est de ces gens là, il faut croire. Mais je ne lui en ai jamais voulu pour autant, je m'en rappelle même pas... Paul, par contre, il va moins souvent le voir. Lui il était assez grand pour se rendre compte de tout le chagrin qui leur a fait. Mon frère voit toujours les côtés négatifs chez les gens, mais encore une fois, je le comprends. C'est la raison pour laquelle mon nom de famille est Irlandais. Vous n'imaginez pas la gueule des gens lorsque je me présente et qu'il entende mon accent. Ensuite, mon angoisse s'est aténuée. J'avais des A si je bossais d'arrache pieds, et encore, c'était limite, mais j'avais trouvé autre chose qui ne nessicitait pas autant d'attention et d'inquiétude : le sport. Je courrais, je courrais, je courrais. De la maison à la Poste. De la poste au lycée. Dy lycée au terrain de sport. Du terrain de sport au cent mètres. Du zéro mètres au cent mètres. Et je me sentais bien, foutrement bien ! Maman y a vu de l'espoir, elle disait que je deviendrai la nouvelle Tiger Wood ou un truc comme ça - elle savait même pas qui c'était, mais ça sonnait bien. J'aimais pas le golfe, j'aimais la danse. Tante Lucie dansait seule à chaque réunion de famille. Elle mettait Edith Piaf et elle tournait dans sa vie en rose. Je trouvais ça beau et triste à la fois, alors je la rejoignais et on dansait sur notre vie en rose. Tante Lucie avait toujours été mise à l'écart pour son originalité, c'est peut-être pour ça que moi je l'aimais tant. C'est papa qui a eut l'idée des cours de danse. Il adorait me voir faire des pirouettes, et pour que Paul applaudisse, fallait vraiment que ça soit chouette ! Maman y était contre au début. Je pense que c'est surtout parce que c'était une idée de lui. Elle le dit pas, mais elle lui en veut toujours, et je pense que ce sera toujours le cas... Elle a finit par accepter en voyant mes efforts pour l'impressionné. J'ai enfilé un justaucorps et des chaussons, et j'ai tourné. Elle a pleuré parce que "j'étais si belle", mais je pense qu'elle était simplement triste parce qu'elle a comprit que la danse ferait partit de moi, et que cela nécessiterait beaucoup de voyages. Paul venait me voir à chaque cour. Pas seulement parce que Vivianne, notre voisine, avait son justaucorps filé et qu'elle devait danser en culotte, mais parce qu'il y prenait goût aussi. Après des milliers de tournoiments, pointes et étirements, il était temps de passer aux choses sérieuses. Clifford, mon coach, m'a apprit existence de la Cannadian, et m'a permit d'avoir une bourse pour les sportifs -qui sont les plus chouchoutés dans les universités Américaines. Maman a encore pleuré de voir sa fille partir pour de bon, et d'être si heureuse qu'elle est eut assez de A et assez d'angoisse pour ne pas finir femme de ménage. Je ne voyais plus des serpières et des brosses à chiottes. Paul a pleuré lui aussi. Je crois que c'est la première fois que je l'ai vu versé des larmes. La section sport m'a parut la plus logique. Clifford, devenu mon tuteur, me suivit.