Canadian Belinghton
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 Aileen B. Armani

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AuteurMessage
Caleb K. Ryker

Blood in the dust.

Caleb K. Ryker

♕ Messages : 382
♕ Célébrité : Aaron Johnson
♕ Age du personnage : 22 ans
♕ Filière : Filière S&E

yop l'évènement ♞
♕ Carnival Games:
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MessageSujet: Aileen B. Armani   Aileen B. Armani I_icon_minitimeSam 11 Fév - 18:10


Aileen Becka. Armani
20 ans ⁂ célibataire ⁂ Anglaise
Je suis née le 9 juillet 1992 à Liverpool en Angleterre. Je n'ai aucun frères et soeurs selon moi. J'ai pris la filière Commerces/Langues avec l'option deuxième langue. Je suis d'ailleurs dans le groupe "We drink, We danse, So what ?". J'aime mon avenir et je haïs mon passé. Mon morceau préféré est Don't tell me de Madonna. Je ne garde aucun livre sur ma table de chevet. Dans mon ipod, je fais qu'écouter de la pop. Je suis plutôt attiré par les hommes comme les femmes. Niveau film, j'aime énormément Las Vegas Parano.
J'ai beaucoup de qualités et tout autant que des défauts. Je suis impulsive, coléreuse, supérieur, bourge, coquette, manipulatrice, sans compassion ni pitié, excentrique. De loin, on peut me remarquer parce j'ai des signes particuliers comme un piercing au ventre. Je suis vraiment addict à la drogue, la vie. Parfois on cache certains secrets et le mien est que j'ai fugué de chez moi. Ma passion est la danse. Mon péché-mignon est le choux à la crème. Je garde toujours avec moi, mon porte-bonheur qui est mon bracelet de baptême. Ma couleur préférée est le violet.
Aileen B. Armani Nina-3-nina-dobrev-6595933-100-100
Aileen a toujours pensé qu'elle était supérieur aux autres et que ses amis, qui sont toutefois nombreux puisque sa présence amène de la popularité, ne sont que des êtres imbus de leur personne. Elle voit les choses de haut, se donne tous les moyens à ce qu'elle veut et ne recule devant rien. Depuis sa jeune enfance dans un quartier bourgeois de Liverpool en Angleterre, elle ne se prive pas de s'acheter des vêtements luxueux et dépense en tous genres. Son but n'est autre que de vivre et à ce prix là, tout est gratuit pour elle. En effet, peu résiste à son charme, ses yeux et ses boucles blondes. Elle ramène les personnes à ses pieds, les gratifie de sa présence et comme généralement, les personnes qui l'entourent sont en admiration devant Becka, elle ne risque pas de les perdre. Aileen est impulsive, agissant sans réfléchir et vivant sur le moment. Jamais elle ne reviendra sur son passé et préfère voir au devant de l'avenir. A force de trop traiter son petit monde avec irrespect, elle tombe parfois de haut et on se rendra compte alors d'une chose : elle n'a aucun jugement sur elle-même, ne réfléchit jamais à ce qu'elle est. Souvent, par peur de perdre les personnes, elle s'accroche à eux à en devenir insupportable et c'est peut-être là le seul moment où elle est plus faible. Sinon, chaque jour, elle est forte, on ne pourra jamais la briser avec des critiques, elle en envoie toujours des plus belles. Pourrait-on penser à ce moment qu'elle n'a aucune morale ? Au fond d'elle, ce n'est qu'en fait qu'une poule de peur.


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DEUXIÈME ⁂ PARTIE ⁂ POUR LE RESTE
Aileen, comme vous pourrez le deviner, considère que les habits sont un art. Elle va donc placer tout l'argent de ses parents adoptifs dans des tenues hors de prix, valsant sans cesse dans les magasins de Burberry, Chanel et tout ce qui tient dans l'inimaginable. Tailleurs cintrés ou jeans moulants, elle peut aller du très class ou très provocant selon ses humeurs..
Toi qui crée ce scénario -> Tes liens : à voir.
Si tu as besoin d'une aide, j'accompagne en tant que parrain du scénario et je peux t'aider pour les avatars, les gifs et autres. Si tu veux des informations sur Aileen, n'hésite pas ♥
Aileen B. Armani Nina-3-nina-dobrev-6595938-100-100
Les talons claquaient lentement sur le pavé de l’orphelinat tandis que des cris résonnaient à travers les murs gris qui semblaient se délaver de la peine des enfants qui avançaient parfois en se trainant sur le carrelage tandis que quelques ours sans bras ou bracelets pendaient sur le sol. Une femme avançait dans son manteau blanc, fourré de quelques renards assassinés pour cette bourgeoisie montante et affrontait les regards pleins de pleurs des enfants tout en resplendissant de cette richesse qui leur avait été volé. Elle écarta quelques bras suppliants et s’enfonça dans un deuxième couloir où une petite pancarte indiquait la pièce de la directrice. Avec habilité, elle poussa la porte de sa hanche tandis que dans son sac, elle sortait un dossier qu’elle cala sous son épaule. La porte claqua dans le silence de l’orphelinat et la femme se retrouva face à la directrice. Celle-ci d’une forte carrure, ne se laissait jamais démonter, amener de la vie avec sa grande gueule dans ce bâtiment. Elle parlait avec son accent, ne démentait pas ses origines et était fière de trouver des familles à ces enfants qu’elle aimait profondément. Son enfance lui avait appris à se méfier pourtant de tout le monde mais son cœur généreux s’ouvrait à tout le monde. Elle accueillit la jeune femme avec chaleur et l’invita à s’assoir. Au bout de quelques minutes, elle commença d’une voix empreinte de malaise :
« Madame, je sais que la somme d’argent proposé est assez importante mais je ne puis délivrer un enfant sans dossier ni accord préalable de votre mari, n’est-ce pas ?
-Voyez-vous, je crois que dans la vie, il y a deux types de personnes. Les niais qui ne prennent pas en compte leur avenir mais juste le besoin des autres. Je ne dis pas qu’aider les autres est mal, bien entendu mais voyez-vous, cela peut prendre du temps... Je continuerai à vous payer tout le long avec des importantes sommes qui feront évoluer votre orphelinat. Vous oublierez un instant le bien heureux de cette petite fille et prendrez pour le bien de tous les autres, me suivez-vous ? »
La directrice déglutit péniblement. Elle tripotait nerveusement son accoudoir et ne savait plus quoi répondre. Après tout, la petit fille de l’orphelinat avait déjà un caractère bien trempé et peut-être, ce serait une aubaine que … Elle ne pouvait cependant penser pour l’argent, elle se l’était promis. Mais la tentation était trop grande. Elle pourrait aider les autres, refaire l’orphelinat pour de meilleurs accueils. Elle tendit une main qui voulait signer le rapport. La femme eut un sourire satisfait et ne répondit pas à cette main tendue. Elle préféra se lever et laissa là la directrice, prise à court dans ses réflexions. Juste avant de refermer la porte, elle jugea pourtant bon de préciser :
« Je comprends vos doutes Madame mais il vous faudra faire sans. J’ai grand besoin de cet enfant, voyez-vous. Mon mari est un béta aveuglé par son désir d’enfant. C’est là le seul moyen de le faire taire une bonne fois pour toute. »
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Les deux meilleurs amis se fixaient en silence. Un silence gênant. Trop gênant pour Aileen. Elle n’aimait pas le malaise. C’était vrai, elle lui avait pris son copain pendant une semaine mais il ne l’aimait pas. Peut-on empêcher un homme d’en aimer une autre ? Elle se rapprocha de Leddy. 15 ans qu’elle la connaissait et restait avec elle. Comme des sœurs. Une relation qui avait d’ailleurs pris des tournures malveillantes. L’une et l’autre cherchait à se faire souffrir pour mieux se faire comprendre à quel point, elles étaient meilleures amies. Une relation ambigüe, faite de disputes incontournables. Aileen criait. Leddy se jetait à ses pieds. Aileen pouvait enfin contrôler, gérer ses colères sur elle. Leddy restait parce qu’elle l’admirait, parce qu’elle était la meilleure amie de la fille la plus populaire. Une véritable amitié ? Aileen en doutait chaque jour mais ne pouvait pourtant oser l’idée de quitter Leddy. Au bout de quelques minutes, elle se rapprocha de Leddy et posa une main frêle sur son bras. D’une voix douce et enveloppante, elle la rassura :
« Je ne pensais pas que Jake était si important pour toi, Leddy, vraiment … »
La concernée se retourna violement et se plaqua contre Aileen qui choqué, ne savait plus quoi faire. Elle était maintenant au dessus d’elle et son visage se rapprocha avec précipitation de celui de sa meilleure amie. Après quelques souffles précipités, elle l’embrassa avec fougue. Aileen perdait de son contrôle, ne sachant plus ce qui lui arrivait. Elle avait commencé jeune à fréquenter des garçons et elle avait couché avec un lors d’une fête à ses treize ans mais jamais une fille. Pas Leddy. Elle poussa avec rage celle-ci et se recula de plusieurs mètres. Sur ces lèvres, le goût restait étrangement et un tremblement tordit son corps. Elle se rendit compte qu’elle n’avait pas bougé. Elle … Elle avait aimé … Choqué, elle ouvrit la bouche pour parler et aperçut le regard noir de Leddy qui acheva dans un éclat de rage :
« Ce n’est pas Jake le problème, c’est toi Aileen ! Je t’aime ! Tu peux le comprendre toi qui ne t’aperçois d’aucun sentiment ? Tu es toujours fière, jamais en train de pleurer. Toujours énervé, supérieur avec ce petit sourire. TU ES INSUPPORTABLE ! Pourtant je t’aime, je t’aime …
- Depuis … Combien … de temps ?
- Ne me parle pas ! Tu ne vois pas que je suis pleine de honte ! Tu n’as vraiment aucune pitié. »
Leddy commença à se lever, les larmes coulant sur son visage. Aileen, désemparé, ne savait plus quoi faire. Lorsque la porte commença à s’ouvrir, elle se jeta pourtant sur sa meilleure amie et l’empêcha de partir. Sans bruit, elle referma la porte et plaqua Leddy sur le mur. Avec douceur, elle lui prit le visage entre les mains et continua : « Pardonne-moi … » Elle l’embrassa sans réfléchir à ses actes. Que faisait-elle ? Leddy ? Des questions tournaient dans sa tête. Que pouvait-elle bien être devenue ? Elle faisait le mur, volait des affaires, avait deux de moyenne. Chaque jour, elle défiait les autres, les regardait avec pitié et la voilà, tremblante, pleine de fièvre. Aimait-elle Leddy ? Surement … Elle ne l’avouerait jamais. Elle sentit les mains de Leddy parcourir son corps, s’attardait sur ses hanches. Sans réfléchir, elle fit de même, agissant selon ses pulsions et explora de ses lèvres, le cou de sa meilleure amie.
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Carmen regardait avec stupeur le petit cadran du test de grossesse. Oui. Oui. Ce mot lui donnait des frissons. Elle était enceinte. Enceinte ! Que pouvait-il bien lui être arrivé ? Son médecin l’avait prévenu de longues années avant de sa stérilité. Carmen n’était pas une femme qui souhaitait avoir des enfants. Elle avait toujours vécu sans cris et c’était elle seule qui régnait dans la maison. Pour elle, les mères étaient faibles, trop empreintes d’amour pour leur enfant. Carmen les regardait avec pitié, mais aussi quelque pointe de jalousie. Elle n’aimait ne pas avoir ce que les autres avaient. Pour calmer les rumeurs qui couraient sur sa relation avec son jardinier qui s’étaient avérés bien fondés, elle avait pris cette orpheline, cette Aileen. Belle jeune fille, jouant déjà de ses atouts. Carmen était fière d’elle, fière de son tempérament et la laissa vider les comptes avec des tailleurs Dior, des sacs Dolce&Cabana, des parfums Channel et ne lui refusait rien. Elle se retrouvait d’ailleurs dans cette petite orpheline au caractère bien trempée. Cependant, là n’était plus la question. Elle était enceinte et sa religion lui interdisait l’avortement. La pilule, n’était qu’éphémère. Le père serait bien content … Carmen poussa un cri d’horreur. Le père n’était autre que le jardinier … Elle secoua la tête en arrière, se rinça avec de l’eau et prit soudain conscience de ce qui allait arriver. Elle prit alors son courage, redressa la tête et sortit de la salle de bain avec élégance, comme toujours, sans montrer sa faiblesse de l’intérieur. Elle arriva dans la salle-à-manger, propre, resplendissante de verres luxueux, de meubles vernis et de tableaux achetés des millions. La fortune venait du mari. Le mari qui trainait en pantoufle sur le canapé, l’air hagard et pour la centième fois dans la journée, elle se demanda si c’était bien là son mari, le mari de Madame Armani. Elle poussa un soupir, mit ses cheveux sur le côté et tapota de ses doigts fins, la table ronde. Le geste attira l’attention du mari qui après un regard, préféra retourner à son journal. Depuis longtemps, il avait préféré lâcher prise, et donner les rênes à cette femme qu’il aimait tant. Un amour qui le dévorait de l’intérieur, le rongeait comme un cancer. Il avala d’un trait une gorgée de son cognac mais le recracha sur le tapis du XIXème siècle lorsqu’il entendit :
« Je suis enceinte. »
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Aileen détestait la vie. Aileen détestait les enfants. Aileen détestait le monde. Aileen détestait Carmen. Aileen détestait ce ventre qui grossissait. Aileen détestait ces nouveaux préparatifs. Aileen détestait l’idée que Carmen ait abandonné le jardinier. Carmen qui avait changé du tout au tout. Elle s’était métamorphosée brusquement. Une vie nouvelle animait la maison qui resplendissait de vie. Carmen riait, dansait, embrassait Alain. Aileen restait dans sa chambre et maudissait cet enfant. Elle le détestait avant de l’avoir connu. Bien avant. Elle savait qu’il n’y aurait plus de tailleurs, de pantalons en velours, de cartes bancaires. Il n’y aurait plus rien. Juste cet enfant. Cet enfant. Il allait arriver, lui prendre sa place, les pourrir avec son visage en porcelaine. Comme à chaque fois. Elle haïssait les enfants. Elle haïssait Carmen qui était devenue si faible. Aileen ne serait jamais faible. Elle se l’était promis.
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L’enfant est arrivé et Aileen s’est volatilisé. L’enfant qui réunissait enfin une Carmen qui s’était senti trop détachée de sa vie et un mari qui avait été oublié. Une famille naissait enfin. La maison virevoltait tandis que dans l’esprit d’Aileen tout allait au plus mal.
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La nuit s’infiltrait dans les volets, projetant ses ombres sombres sur le parquet. Dans le berceau de la salle-à-manger, l’enfant jouait avec ses mains, s’étonnant de ses doigts puis tripotant son nounours à côté de lui. Le silence qui régnait dans la maison, le couvrait, l’enveloppait de ses bras rassurants. Une ombre passa pourtant sur le parquet jusqu’à s’étirer lentement. Aileen s’approcha du berceau, se retint aux barres pour ne pas tomber. Une haine violente l’animait. Une haine d’en finir avec cet enfant qui lui avait pris sa place. Sa place de fille bourgeoise gâtée. Maintenant on la grondait, on lui empêchait de s’habiller avec ces vêtements, de voir ses amis, de sortir. Elle n’avait plus rien. Il fallait qu’il parte. Elle posa une main sur le berceau et avec un sourire carnassier, le balança d’avant en arrière. L’enfant, qui était enfin bercé, ne tarda pas à fermer les yeux avec douceur, dévoilant ses joues nacrées. Elle revoyait sans cesse ce visage innocent entouré de boucles café qui avec le sourire donnaient à l’enfant un air angélique. Ses joues rondes du rose nacrée de l’enfant accompagnaient les petites rides creuses que formaient sa bouche quand il semblait rire en la regardant. Ses yeux avaient pris une teinte ambrée et or qui se fondaient dans l’éclat chocolat de la pupille. Ses lèvres roses bougeaient dans un mouvement incessant, parfois élargie par le gazouillement d’un rire. Elle revoyait sa petite tête qui dodelinait sur le côté gauche, la bouche entrouverte, les paupières fermées lorsqu’il dormait. Cet enfant qu’elle détestait. Si beau mais si laid. Elle appuyait de plus en fort et le berceau tanguait dangereusement vers le sol. Une dernière pression et c’était finie. Une vie comme avant ! L’enfant aurait eu un problème, personne ne saurait rien et qu’importe !
« AILEEN ! ECARTE-TOI DE CE BERCEAU IMMEDIATEMENT ! »
La jeune fille ne releva pas la tête et poussa le berceau qui tomba avec lenteur, d’une chute prolongée. L’enfant bascula un instant puis roula sur la couverture et tomba dans un bruit mat sur le sol. Carmen poussa un cri d’horreur retentissant et se précipita vers l’enfant. Alain, descendu en vitesse, à peine habillé, arracha le téléphone et composa le numéro d’une ambulance.
« AILEEN ! QU’AS-TU FAIT ? TU ES MALADE BON SANG ? ON N’AURAIT JAMAIS DU T’ADOPTER ! TU N’ES QU’UNE BONNE A RIEN ! UNE VERITABLE LACHE ! TU AURAIS PU PARLER NON ! TU AS PREFERE TUER CET ENFANT ! »
Becka ne releva pas la tête mais s’éloigna lentement avec un sourire.
L’ambulance arriva cinq minutes après et l’enfant fut sauvé. Pas la jeune fille. Elle fut condamné à partir à une université quelques mois plus tard à ses 18 ans et seul les copieux revenus envoyés par ses parents adoptifs, restaient le contact entre-eux.
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Aileen B. Armani

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