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 Anaëlle Lucy Hale

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AuteurMessage
Caleb K. Ryker

Blood in the dust.

Caleb K. Ryker

♕ Messages : 382
♕ Célébrité : Aaron Johnson
♕ Age du personnage : 22 ans
♕ Filière : Filière S&E

yop l'évènement ♞
♕ Carnival Games:
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MessageSujet: Anaëlle Lucy Hale   Anaëlle Lucy Hale I_icon_minitimeLun 30 Avr - 14:16


Anaëlle Lucy Hale
22 ans ⁂ célibataire ⁂ anglaise et irlandaise
Je suis née le 19 janvier à Liverpool en Angleterre. J'ai aucun frères et soeurs. J'ai pris la filière .. avec l'option [...]. Je suis d'ailleurs dans le groupe Keep it simple. J'aime lire, écouter de la musique, sortir, le sport et je haïs mon passé, le souvenir du dessin, le souvenir de Benny, les questions. Mon morceau préféré est la Valse e Yann tiersen. Je garde toujours Les déferlantes de Claude gallay sur ma table de chevet. Dans mon ipod, je fais qu'écouter Pink Floyd, yann tiersen, cocoon. Je suis plutôt attiré par les hommes même si je ne compte aller avec aucun. Niveau film, j'aime énormément Tetro de Francis ford coppola.
J'ai beaucoup de qualités et tout autant que des défauts. Je suis rieuse, sociable, généreuse, optimiste, toujours de bonne humeur, réconfortante lors d'une première facette et je suis en fait froide, glaciale, distante, mythomane, fuyante, solitaire. De loin, on peut me remarquer parce j'ai des signes particuliers comme mon tatouage au creux du cou, représentant un aigle miniature, l'animal préféré de Benny. Je suis vraiment addict à rien. Parfois on cache certains secrets et le mien est que mon seul amour est mort, que le passé que je ne cesse de dire, n'est pas le mien. Ma passion est le dessin mais j'ai arrêté cette activité à sa mort. Mon péché-mignon est le chocolat. Je garde toujours avec moi, mon porte-bonheur qui est une pièce porte-bonheur qu'il m'avait offert. Ma couleur préférée est le blanc.
Anaëlle Lucy Hale EmmaIcons-emma-roberts-28025798-100-100
Anaëlle est une jeune fille sans cesse perturbée et mouvementée par son passé. Elle est profondément marquée par la mort de Benny qu’elle aimait plus que personne. Elle vit dans la culpabilité et la honte. Pour ne pas avoir à s’expliquer sur son passé, elle ne répond à aucunes questions et tourne toujours les réponses à son avantage. Elle s’est inventée un passé tout autre. Au premier abord, elle vous sera adorable, riante, généreuse. Une jeune fille bien dans sa peau qui semble faire seize ans, encore plongé dans les brumes de l'adolescence mais qui est confiante pour elle-même. Cependant, Lucy utilise cette facette comme un masque, un moyen de contrer les autres. Profondément déprimée, elle fait tout pour que l’on ne le remarque jamais. Ces faux-rires, ces faux-sourires lui permettent d’oublier un instant cet accident. Elle vous enrôle de ses yeux pour que vous ne la voyer que rire, sourire et les paroles qui sortiront de sa bouche, ne seront que des mensonges. Elle détourne en faisant des blagues ou dit des choses qui s'éloignent complètement de la réalité. Pour être quelqu'un d'autre, elle se tient dans son rôle de mythomane, faisant croire que tout ce qu'elle dit est faux, inventé et exagéré. Excellent moyen pour que personne n'écoute son passé puisque tout le monde croit que c'est faux. Seulement, on se rendra lentement compte qu’Anaëlle prend toujours de la distance avec les personnes, ne voulant plus jamais s’attacher à qui que ce soit. Elle pourra donc devenir très froide si l’on tente d’établir une véritable relation avec elle. Lucy ne supporte pas qu’on la drague, qu’on lui fasse des avances. Elle peut prendre une toute autre facette très agressive et parfois violente pour ne pas avoir à s’expliquer. Dans tous les cas, la jeune fille fuit ses responsabilités, ne cherchant jamais à s’installer quelque part et ne se lier avec personne.


en savoir plus
DEUXIÈME ⁂ PARTIE ⁂ POUR LE RESTE
Je ne pense pas qu’Anaëlle est un style à proprement parlé. Elle s’habille avec ce qu’elle a sous la main et peut vite changer d’habits, passant d’un style plus strict à un style plutôt bohème. Je vous laisse donc imaginer comment vous imaginerez Lucy, qui selon moi, respecta quand même les principes de ne pas être vulgaire, chaussé sur des talons, ou enveloppé dans des robes moulantes. Je ne pense pas d’ailleurs que la jeune fille veuille vraiment se mettre en valeur mais juste respecter le fait d’être potable sans pourtant regarder son apparence. Elle porte un peu de tout, de ces vêtements qui lui tombent sous la main lorsque la matin, elle part en trombe.
Toi qui crée ce scénario -> Tes liens : à voir.
Anaëlle Lucy Hale Tumblr16
Anaëlle est la fille unique d’une modeste famille anglaise, les Hale, aimés pour leur discrétion et leur gentillesse avec les autres, sans superflues ni débordements. Son enfance dont elle garde un souvenir doux, se passa sans inconvénients. D’un tempérament facile presque naïf, elle ne se laissa gronder que pour des choses inutiles, restant sagement dans une vie prévue et contracté. Elle ne cherchait pas ce qui aurait pu l’enfouir dans des problèmes et se voyait parfois simple spectatrice fragile et ignorée à des évènements trop bruyants pour elle. Dès sa jeune enfance, elle révéla un dont inné pour le dessin. Ronds, arabesques de couleurs, fusains d’encre, traits virevoltants, formes cachées et ombres dévoilés, ne furent plus d’aucun secret pour elle. Ne sachant parfois comment utiliser les mots pour faire ressentir ses émotions, elle utilisait le dessin pour se libérer, pour se comprendre et se forger telle qu’elle est. Elle n’était pas la plus populaire du collège, pas la plus gentille, pas la plus aimée mais personne ne la haïssait et son petit monde lui suffisait amplement avec sa meilleure amie : Kimil. Elle avait été comme les autres, transportés dans le flot d’émotions de l’adolescence sans jamais connaitre un seul garçon. Elle n’était pas encore assez mûre peut-être pour s’enfoncer dans les tréfonds de l’amour. Jusqu’à ses quinze ans, sa vie ne connut aucun remous particulier juste des jours conformes aux autres. A cette époque-là, son père, comptable, avait reçu une promotion l’obligeant à trouver refuge en Irlande. Quoique pays proche du sien, Lucy vécut ce déménagement comme un déracinement. Le climat, les traditions, l’accent, les personnes étaient très différentes de tous ces souvenirs. Elle eut la désagréable impression d’être à un carrefour, à la fin de son innocence. Ce n’était pourtant que le début. Ces quinze ans marquèrent aussi son entrée au lycée, début des choix, des filières, de son avenir qui se profile. Elle fut soudain alors prise au milieu de tourments bien plus grands qu’elle n’aurait imaginé.

Il s’appelait Benny Kay Spencer. Il avait deux ans de plus qu’elle. Cheveux blonds, yeux émeraude, sportif dans toutes les disciplines, guitariste à ses heures perdus, sans cesse accompagné de son meilleur ami, Matt. Tempérament rieur, positif mais tout autant insupportable par ses côtés râleurs, et sa nature jalouse extrême. Ils se connurent au lycée, se trouvant des points communs très rapidement et s’entendant à merveille. Il devint rapidement son meilleur ami, son confident. Ils pouvaient parler des heures durant, et lorsqu’ils se sentaient agacés l’un de l’autre, ils prenaient la sage décision de rester en solitaire. C’était une entente mutuelle, une compréhension commune qu’elle n’aurait pu expliquer. Un regard, un sourire et ils se comprenaient. Bien sûr le temps fit les choses. Ils tombèrent amoureux comme une évidence, comme un souhait déjà réalisé depuis longtemps. Anaëlle n’avait jamais cru aux ridicules serments de bonheur et d’amour infinis mais elle avait une évidence. Ce serait le plus précieux amour qu’elle aurait eu le droit de connaitre. Son premier baisé, sa première fois, ses premiers mots tendres. Toute cette complicité fleurissait davantage chaque jour et plus le temps passait, pus elle l’aimait. Des disputes agrémentaient leurs relations mais ils se savaient tous deux incapables de revenir à une amitié simple ou à de l’ignorance pure et simple. Ils se cherchaient, s’attiraient tous les deux. Leurs lèvres se frôlaient, s’entrechoquaient, se voulaient et leurs corps attendaient le contact de l’autre, avidement. Elle lui faisait des dessins, il jouait pour elle. Expliquer ce qu’ils ressentaient, serait bien trop difficile. C’était un tourbillon de sentiments, une valse inconnue jusque là. Lucy redoutait chaque jour l’attachement de plus en plus grandissant qui s’était installé. Elle l’aimait trop. C’en était presque douloureux d’être si dépendant d’une personne. Il n’était jamais tombé amoureux, enchainant à tout vas, les filles qui lui tombaient sous la main. Il avait, il craché sur ce faux-amour et les rejetait toutes une à une. Il se perdit lui-même dans l’amour qu’il ressentit pour Lucy pour la première. Elle n’avait jamais eu aucune relation avec un autre. C’était le premier. Elle se demandait si ce ne serait pas le dernier. Si on définissait l’amour comme le début d’une flamme que créait une bougie, on pourrait penser à un feu brûlant pour les deux. Bien plus tard, elle ne sut expliquer vraiment ce qui avait animé cette relation si intense. Tout ce qu’elle savait, c’est que jusqu’à ses 22 ans, à ce fameux jour, ce fut le seul qui compta pour elle. Ces parents avaient toujours faibles à partir de son adolescence. Chacun vivant sa vie. Elle avait évolué seule. Elle avait évolué avec lui. Anaëlle avait trop longtemps cherché un port d’attache. Elle l’avait trouvé : c’était lui.

Lors de sa majorité, elle partit dans une école supérieure de dessin situé en Angleterre où elle devait retourner à sa terre natale. Elle dut quitter Benny. La séparation la plongea dans une profonde déprime. Elle était avec lui depuis ses quinze ans soit trois ans toujours ensemble. Ils correspondirent ensemble, se téléphonant sans jamais pouvoir se voir, pendant deux ans. A ces 20 ans alors que leur relation semblait se ternir face à toute cette distance qui les séparait, Anaëlle dut partir au Pérou pour dessiner les civilisations premières et les paysages. Ce voyage qui devait durer deux ans, était la clé de son concours. Elle devait être seulement accompagnée d’un guide. Ils décidèrent d’abandonner ce qui avait déjà été fait depuis longtemps. Lucy espérait que ce voyage lui permettrait d’oublier une évidence : elle ne retrouverait jamais plus Benny. Elle ne pourrait plus jamais l’aimer. Elle n’en n’avait plus le droit. Il l’avait rejeté. Elle aurait pu attendre des années mais il avait jugé préférable d’arrêter. C’était plus sage pour eux deux d’après Benny. Elle avait un travail et lui commencerait dans sa vie active. Elle le vécut encore plus mal. A sa majorité, elle avait encore espéré qu’ils se retrouveraient. Maintenant, il n’y avait plus d’espoir, plus d’issues possibles. Toute sa vie s’était fondée sur Benny. Elle s’était raccrochée à lui et désespérément, n’arrivait plus à quitter cette idée. C’était si violent. Elle voyait les jours d’attente de son voyage, se rallonger sans qu’elle ne puisse rien y faire. Elle ne voyait plus le bonheur. Elle voulait ses lèvres, ses bras, son corps. Elle se jura de le retrouver.

Elle l’aimait. N’étais-ce pas assez ?

« 12 février. Enveloppé dans une karpa du double de sa taille, le cou entouré d’une écharpe tout aussi épaisse, elle sortit, une bouffée d’air sortie de ses lèvres. L’air froid et implacable s’abattît sur elle comme un rideau glacial. Elle sentit un frisson lui parcourir le corps et pour s’empêcher de trembler, elle enfouit sa tête dans l’écharpe et le bonnet enfoncé jusqu’aux oreilles. La date tant voulu était arrivé. Elle avait pris deux avions le matin même pour s’envoler loin de la civilisation. Pour éloigner son souvenir. Elle revoyait encore son visage et ses lèvres toujours accompagnés d’un sourire. Son cœur se contracta à ce souvenir. Cette purge dans les montagnes, seule et sans personne, lui permettrait de tout oublier. A jamais. Pour enfin effacer ce souvenir et recommencer avec d’autres. Son guide devait la chercher à la sortie du bus. Elle ne doutait pas que ce guide serait comme un fantôme. Des amis lui avaient dit que les guides, toujours de la région, ne parlait que quelques mots français. Elle sentit un sourire effleurer ses lèvres. C’était encore mieux. Elle n’aurait pas à parler et pourrait s’enfermer dans sa bulle, à dessiner encore et encore. Si elle remportait ce concours, une grande carrière l’attendait. Elle entendit des crissements de pneus sur la glace. Elle ne releva pas les yeux. Elle attendait juste. Une portière s’ouvrit. Aucun bruit ne perturbait l’atmosphère, elle douta donc que ce soit son guide. Alors que les minutes passaient, un juron se fit entendre. Elle sentit ses mains trembler. Cette voix. Sa voix. Elle eut peur de lever la tête. Peur d’avoir rêver. L’aimait-elle au point d’imaginer sa présence. Cela faisait presque 6 mois qu’il n’avait plus aucun contact. Elle aurait aimé en finir. Elle ferma les yeux, tout en sentant la peur battre dans ses tempes. Une mai se plaqua contre sa joue avant de lui relever le visage avec une infinie douceur. Impossible de se tromper. Ses yeux émeraude la dévisageaient lentement. Elle déglutit et souffla pour reprendre sa respiration. Il se mordit la lèvre, sembla hésiter et après un soupir, plaqua ses lèvres contre les siennes. Elle sentait son corps tressaillir d’envie, de tentation, d’amour retenu trop longtemps. A force, à force. Ses lèvres cherchèrent les siennes tandis qu’elle se défaisait de ses sacs qui tombèrent sur le sol dans un bruit sourd pour qu’elle entoure son visage de ses mains. Elle chercha son souffle. Il souffla lui-même dans ses oreilles : « Je suis ton guide pour ton voyage. Je crois que je serais ton guide toute ta vie. Je ne peux pas vivre sans toi, Ana’… »

Le voyage fut sublime. Un amour nouveau nait entre-deux. Elle s’accroche encore plus. Elle sait qu’elle ne pourra plus jamais sans lui.
Elle dessine, il grimpe et l’aide.
Le voyage serait trop long à raconter. Trop d’évènements, de rebondissements, de bouleversements. Trop de changement aussi.
Le plus important est qu’elle l’aima de plus en plus. Un brasier. Un brasier qui s’enflammait trop.
Leur voyage dura un an. Juste tous les deux. Il se termina aussi violement qu’avait été la force de leur amour. Brusquement.

« Nous avons appris la mort tragique d’un jeune homme de 26 ans dans les montagnes du Pérou. Il était guide depuis déjà cinq ans et devait accompagner une jeune femme, Anaëlle Lucy Hale, dans sa découverte du pays et des glaciers qu’offre la région. Venant tout droit de la célèbre Art School Académic, elle devait terminer ses études en offrant ses dessins des paysages. Les prévisions étaient au beau temps lorsqu’ils furent attaquer un glacier et rien n’aurait pu les prévenir de la violente avalanche qui les emporta et les enfouit dans une crevasse. Le guide avait de l’équipement de survie pour les deux dont un qui semble avoir gelé durant l’accident. Par son courage, il a su prouver à tous ce que l’être humain peut donner. Il s’est sacrifié pour la dessinatrice. Vous pouvez trouver plus d’informations sur notre … »

Anaëlle essaya de se suicider. Elle abandonna le dessin et décida de ne plus jamais y retoucher depuis la mort de Benny. Elle ne prononça plus jamais son prénom, annonça son départ à son école et s’inscrivit à l’autre bout du continent dans Canadian Belinghton. Elle s’inventa un nouveau passé, se disant originaire du Canada et orpheline de naissance. Elle coupa tous liens avec les personnes qui avaient habités son ancienne vie sans donner d’explications. Elle voulait effacer tout ce qui avait été avant. Elle réussit à tout faire disparaitre sauf son souvenir. Sauf la culpabilité immense qui l’entourait. Il s’était tué pour elle. Il lui avait promis qu’il remonterait lui aussi. Mais il n’avait pas le matériel. Elle aurait du mourir avec lui. Elle aurait du.


Dernière édition par Caleb K. Ryker le Dim 13 Mai - 14:08, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Anaëlle Lucy Hale   Anaëlle Lucy Hale I_icon_minitimeLun 30 Avr - 14:31

La célébrité, Emma Roberts peut être blonde ou brune selon comment vous la préférez par rapport au personnage. Je suis libre si vous souhaitez modifier un trait de caractère ou une notion de l'histoire selon ce que vous voulez. Libre à vous et j'espère que vous la choisirez I love you
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